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Présentation

Alter-Natives est une association loi 1901 située à la frontière Lot et Aveyron.
Elle réunit des personnes qui se rencontrent, se forment et s'informent sur des sujets touchant à la vie au contact des enfants (santé, alimentation, éducation, etc) dans le respect de l'être humain et de son environnement.
Elle se veut également être une plate-forme d'informations au niveau local (évènements, contacts, etc).
Pour nous contacter : asso.alternatives@gmail.com 

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3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 10:30

ALTER-NATIVES se questionnent toujours autant ? Et vous ? Voici un éclairage supplémentaire :


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Non à une campagne massive de vaccination forcée !
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> La nouvelle ministre de la Santé Agnès Buzyn vient d’expliquer dans le Parisien son souhait d’étendre l’obligation vaccinale pour nos enfants, en passant de 3 vaccins à 11obligatoires pour, dit-elle, « permettre à la société d’évoluer ».
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> Disons le tout net : obliger des parents à voir 11 vaccins injectés à leurs enfants dès le plus jeune âge, sans avoir leur mot à dire, n’a rien d’une évolution de société. Une telle vaccination massive et à marche forcée serait un véritable hold-up sur notre liberté individuelle et notre santé !
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  • Des vaccins controversés ou à l’efficacité mal démontrée (hépatite B, méningocoque C…) deviendraient obligatoires. Or, on ne compte plus les accidents post-vaccinaux ou les signalements d’effets indésirables graves, voire mortels, et les procès intentés par les victimes ou leur famille se multiplient.

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  • Personne ne connaît aujourd’hui l’impact à moyen et long terme d’un bombardement de 11 vaccins sur le système immunitaire immature de jeunes enfants. Plusieurs études ainsi que des données des laboratoires ont déjà montré l’augmentation significative des accidents neurologiques liés à l’injection simultanée de plusieurs vaccins. Avec sa proposition, Agnès Buzyn joue aux apprentis sorciers.

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  • Chaque enfant réagit différemment à chaque vaccin. Leur imposer autant de vaccins sans prendre en compte leurs particularités, c’est prendre des risques imprévisibles quant à leur santé.

> Non seulement ce projet va à l’encontre des règles minimales de sécurité sanitaire, mais il viole également nos libertés fondamentales. Alors que la grande majorité des pays européens n’ont pas d’obligations vaccinales, sans conséquences sanitaires notables, le Parlement suédois vient même de déclarer anticonstitutionnelle l’obligation vaccinale.
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> À contre-courant de ces pays soucieux des libertés individuelles, notre ministre de la Santé veut faire fi de la défiance justifiée des Français envers les vaccins. Alors qu’on parle tant aujourd’hui de conflits d’intérêts et de moralisation de la vie publique, il est urgent de préférer la transparence et le dialogue avec les Français aux cadeaux offerts aux laboratoires pharmaceutiques.
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> Nous réclamons :
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- Que la France, en accord avec la loi Kouchner du 4 mars 2002, s’inspire du modèle suédois et s’oriente vers la liberté de choix.
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> - Que des données épidémiologiques nationales transparentes et accessibles aux citoyens, évaluent objectivement les besoins et l’efficacité clinique de chaque vaccination. Agnès Buzyn justifie par exemple sa proposition par le nombre, qu’elle juge important, des cas de rougeole depuis 2008. Or, comme le rappelle la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, les taux de vaccination contre la rougeole sont en constante augmentation sur la période. Si vraiment les cas de rougeole augmentent alors même que la « couverture vaccinale » s’étend, c’est l’utilité même de ce vaccin qu’il faut remettre en cause plutôt que vouloir l’imposer de force à un nombre toujours plus grand de personnes.
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> - L’analyse objective des risques neurologiques, psychiatriques, articulaires et musculaires éventuellement associés, qui pourraient être liés, comme le montrent certaines études scientifiques, aux différents types d’adjuvants.
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> - Le recensement de la présence de nanoparticules métalliques non déclarées dans les vaccins. Une nouvelle étude des docteurs Gatti et Montanaru, du laboratoire italien Nanodiagnostics révèle la présence inexpliquée, et jamais signalée par les laboratoires, de plus d’une vingtaine de nanocomposants toxiques dans des vaccins courants, y compris dans certains des vaccins destinés à devenir obligatoires selon Agnès Buzyn. On y retrouve notamment tungstène, chrome, baryum, aluminium, silicium, titane… Outre la toxicité avérée de certains de ces métaux, leur échelle nanométrique et leur association entre eux en font de possibles bombes à retardement. Or, malgré de nombreux accidents post-vaccinaux « inexpliqués », aucune étude toxicologique n’a été faite sur l’effet de ces nanoparticules ! Rappelons qu’actuellement 700 familles françaises ont assigné en justice le laboratoire CSP, distributeur du vaccin Meningitec, du fait de symptômes très préoccupants après la vaccination (fièvre, douleurs, diarrhée, problèmes oculaires graves). Or, si on a rapidement attribué le problème à des « lots défectueux », la députée européenne écologiste Michèle Rivasi rappelait il y a peu qu’il se pourrait que le problème vienne du vaccin lui-même : en effet, Nanodiagnostics déclare avoir observé la présence dans ce vaccin d’acier inoxydable, de plomb, de titane et de zirconium.
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> - De revoir l’âge de la nécessité vaccinale et de mieux évaluer les risques d’associer chez le nourrisson des vaccins combinés, pour certains d’efficacité mal démontrée, et qui ne sauraient donc être rendus obligatoires. Ceci implique une étude plus poussée des réponses immunitaires générales et cérébrales des nourrissons, soumis à plusieurs vaccinations simultanées, alors que les réponses de leur système immunitaire ne sont pas matures et sont encore mal connues à cet âge. La littérature scientifique et l’expérience des pédiatres confirment que plus est important le nombre de vaccins administrés simultanément et plus l’enfant est jeune, et plus sont importants les risques d’effets secondaires. Il en va aussi du bon sens : jamais dans la nature ne se manifestent simultanément 6 ou 7 pathologies infectieuses et l’organisme n’est ni préparé ni apte à gérer une telle éventualité !
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> - L’arrêt de l’uniformisation des pratiques au nom du principe de la vaccination de masse et une meilleure prise en compte de la particularité des individus, à la fois en termes d’exposition réelle aux risques et en termes de terrain immunitaire lié à l’extrême variabilité du système HLA propre à chaque individu. Sans même évoquer l’efficacité du vaccin contre l’hépatite B et ses risques sur la santé, quel est le sens de vacciner un jeune enfant contre une maladie sexuellement transmissible ? Un acte médical responsable doit rester personnalisé pour évaluer le rapport bénéfice/risque pour chaque individu particulier. Les patients ne sont pas de potentielles « marges d’erreurs » dans des statistiques de santé publique, ils sont des citoyens libres qui doivent pouvoir consentir, de manière libre et éclairée, à un traitement à partir d’une information fiable et transparente.
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> Depuis près de 40 ans, Alternative Santé défend votre libre choix thérapeutique.
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> Dés 1982, nous exprimions nos doutes sur l’utilité du BCG. En 1995, nous alertions sur les risques du vaccin contre l’hépatite B, ce qui a contribué à sa suspension dans les collèges en 1998. Dans les années 2000 nous avons soutenu activement les victimes de la myofasciite à macrophages et avons notamment mis en garde sur les risques du Gardasil.
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> Aujourd’hui encore, notre santé est en danger et notre détermination mise à l’épreuve. Chacun de vous peut agir en signant cette pétition et en la faisant circuler auprès du plus grand nombre.
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> Premiers signataires :
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> - Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations
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> - Michèle Rivasi (députée européenne EELV, biologiste, co-auteure de l’ouvrage Le racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir)
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> - Serge Rader (pharmacien lanceur d'alerte, co-auteur de l’ouvrage Le racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir )
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> - Maître Jean-Pierre Joseph (avocat, auteur de l'ouvrage Vaccins. On nous aurait menti ?, membre du CA de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations)
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> Aller plus loin :
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> - Vous pouvez soutenir ou devenir membre de la Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, avec qui nous collaborons depuis les débuts du magazine. Depuis 1954, la ligue mène un travail précieux d’information et de défense de nos droits : www.infovaccin.fr
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> - Vous pouvez également suivre le travail constant de lanceur d’alerte de la députée européenne Michèle Rivasi sur les questions de santé et d’environnement : www.michele-rivasi.eu

 
 
 
 
 
 
 

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"Alternative Santé" est édité par la société GinkgoMedia, société de presse indépendante des laboratoires pharmaceutiques et des pouvoirs publics.
> Santé Port Royal SAS - 101,  rue de Patay - 75013 Paris
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Published by Les Alternanas